Page mise en ligne le Dimanche 29 Septembre 2013 à 06h22 par Patrick DEREUDRE

Avec un ajout le Mercredi 2 Octobre 2013 à 7h16 par Patrick DEREUDRE.

MON AVOCAT (le troisième)

Sans compter l'AVOCAT de transition mandaté par MA CIE D'ASSURANCES

MON AVOCAT le troisième, ce dernier est l'AVOCAT personnel de  MA CIE REGIONALE D'ASSURANCES.

 

Propos INSUPORTABLES, CHOQUANTS etc... de la part de MON AVOCAT (voir courrier du 31 Octobre 2011 tout en bas de cette page).

Je cite : 

  • Or, vous n'avez jamais repris attache avec mon Cabinet.
  • Je me permets de vous rappeler que vous vous mettez dans une situation délicate puisque votre responsabilité se trouve aujourd'hui engagée.
  • Depuis le début de mon intervention, vous ne suivez pas mes conseils, ni ceux du Cabinet "Le NOM de l'EXPERT de MA CIE d'ASSURANCES"...  
  • Votre refus obstiné d'accepter l'indemnisation de la reprise de l'affaissement du linteau de la bais libre en sous-sol sous...
  •  Or, vous refusez sans raison valable. 
  • L’Expert vous a rappelé, dans son rapport, que ce retard sans grief était préjudiciable…
  • L’Expert avait également indiqué qu’il trouvait anormal que vous habitiez votre maison depuis plus de deux ans et que vous deviez à la SAS « LE CONSTRUCTEUR »  La somme de 7229.94€ ainsi qu’au ETS « Le PLOMBIER CHAUFFAGISTE » la somme de 5000.00€
  • Vous n’avez donc nullement cru bon d’écouter mes conseils, ni ceux du Cabinet « Expert de MA CIE D’ASSURANCES » pas plus que ceux de l’EXPERT JUDICIAIRE.
  • Je vous indique que je classe ce dossier, étant précisé que l'ensembre des pièce de votre dossier est à votre disposition à mon Cabinet contre reçu.
  • Etc… (Voir courrier du 31 Octobre 2011 en bas de cette page). 

 

Pour comprendre vous pouvez vous reporter à l'article suivant : 

 

"MA CIE D'ASSURANCES, la face cachée..."

 

 

 Une première sélection de courriers.

 

Le 29/01/2011 J’adresse un courrier par Fax à MON AVOCAT.

Cet AVOCAT est l'AVOCAT PERSONNEL de la DIRECTION REGIONALE de MA  CIE D'ASSURANCES.  

 

Le 05/02/2011 J’adresse un courrier par Fax à MON AVOCAT mandaté par  MA CIE D'ASSURANCES.

 

Le 07/02/2011 J’adresse un courrier par Fax à MON AVOCAT mandaté par   MA CIE D'ASSURANCES.

 

Le 21/02/2011 Un exemple, parmi tant d'autres :

MON troisième AVOCAT, c’est à dire l’AVOCAT PERSONNEL de la DIRECTION REGIONALE de MA CIE D'ASSURANCES, m’adresse un courrier ainsi qu'une copie du rapport de L’EXPERT JUDICIAIRE.

 

Pour exemple dans son courrier MON troisième AVOCAT me demande entre autre d’accepter l'ensemble des propositions de réparations  dont la  réparation d'un linteau. Proposition à moindre coût (4 970€). En mettant un IPN sous ce linteau, ce qui aurait pour effet entre autre d’être dans l’obligation de baisser la tête pour accéder  dans cette partie sous-sol sous la terrasse.

 

Plus grave, suite à une erreur de conception du CONSTRUCTEUR nous sommes en surcharge de poids  concernant cette terrasse avec deux épaisseurs de dalles. Les poutrelles de la terrasse sont inversées et c’est la conception même avec une extension en sous-sol qui n’est pas faite dans les règles de la construction.

 

Cela  génère des fissures sur les enduits. Cette proposition n’est donc qu’un cataplasme sur une jambe de bois. On nous demande également de signer un document sur lequel on renonce à tout recours ultérieur.

 

L'AVOCAT de MA CIE D'ASSURANCES nous demande que nous acceptions pour la partie chauffage la pose d’un nouveau thermostat filaire.

 

Historique : Du 13 Mai 2010 au 24  Juin 2010 le CHAUFFAGISTE intervient en vain à plusieurs reprises suite à une panne de la chaudière pour défaut d'Ionisation. La chaudière ainsi que  le Thermostat sans fil affichent  "DEF.IONISATION".

 

Le 27 juin 2010 la chaudière tombe de nouveau en panne toujours pour défaut de Ionisation. Nous resterons de ce fait  sans eau chaude  du 27 Juin 2010 jusqu'au 23 Novembre 2010 et sans chauffage pour la période automne.

 

 Un chauffage à pétrole  nous a été prêté pour chauffer une partie du rez-de-chaussée et nous avons fait l'acquisition de radiateurs électriques.

 

Le vendredi 26 novembre 2010 après midi  à la demande du CHAUFFAGISTE une nouvelle intervention a eu lieu pour déterminer la provenance de la panne.

 

Intervention pour une assistance conseil du sous traitant du CHAUFFAGISTE composé du responsable de l'agence du Nord, accompagné de son technicien, ainsi que le TECHNICIEN du CHAUFFAGISTE.

 

Précision : Le jeudi 20 janvier 2011 au matin la chaudière  ne fonctionne plus depuis plusieurs jours, elle  affiche  ainsi que le thermostat sans fil "DEF.IONISATION".

 

Ce même matin du 20 Janvier 2011  l'entreprise de chauffage composé du gérant de cette entreprise ainsi que de l'un de ses techniciens   interviennent sur la chaudière et sur le thermostat sans fil.

 

La chaudière fonctionne de nouveau et affiche les températures mais curieusement durant l’intervention du CHAUFFAGISTE le thermostat sans fil affiche "DEF.INIT"  défaut initialisation ? (c'est à dire que le thermostat sans fil n'est plus raccordé à la chaudière).

 

 

(Je m'exprimerai ultérieurement, de façon  très précise  sur l'ensemble des faits en question).

 

Dans le courrier du 21 février 2011 MON troisième AVOCAT nous  écrit je cite :

 

  • Enfin, en ce qui concerne le compte entre les parties, vous noterez que l’EXPERT trouve anormal que vous habitiez votre maison depuis plus de deux ans et que vous deviez à la SAS « LE CONSTRUCTEUR » la somme de 7.229.94€ ainsi qu’aux Etablissement «Le NOM du PLOMPLIER CHAUFFAGISTE »  la somme de 5.000€. 

 

Le 10 Mars 2011  MON troisième AVOCAT nous adresse un mail.

 

Je cite :

 

« Vous noterez que la société  «Le  NOM du CONSTRUCTEUR » interviendra à votre domicile en semaines 16 & 17 soit du lundi 18 avril au mardi 27 avril prochain.

 

Je vous remercie de bien vouloir me confirmer, par écrit, que vous ne vous opposerez pas à l’intervention de la Société « NOM du CONSTRUCTEUR » il nous met en pièces jointes le courrier du 07 mars 2011 de l’AVOCAT du CONSTRUCTEUR.

  

Son intervention portera sur les points suivants :

 

1)      Façade principale avant gauche : Reprise en sous œuvre du trottoir depuis l’angle jusqu’au tableau droit de la porte fenêtre.

 

2)      Reprise de la poutre en sous-sol / Selon devis des "Le NOM de L'ARTISAN" selon pièce jointe. Bien évidemment pour ce point, mon client attend confirmation de l’assureur dommages ouvrage. Vous voudrez bien sur ce point, me confirmer que votre client a signé l’accord de prise en charge qu’il avait reçu.

 

3)      Linteaux porte de garage : Reprise du champ de l’enduit projeté (ponçage). Si le ponçage s’avère non suffisant, pose d’une cornière PVC en alu blanc de la couleur des portes de garage.

 

4)      Porte d’entrée : Prise de contact avec la Société " Le fabricant de la porte" et pose d’un raidisseur (Intervention commerciale hors garantie).

 

5)      Terrasse arrière : Pose d’une cornière en alu ou PVC blanc sur les côtés gauche et droit de la terrasse afin d’éviter la migration de l’eau.

 

Bien évidemment, la présente est officielle et vous voudrez bien me confirmer, par retour, que votre client ne s’opposera pas à l’intervention de la Société « Le NOM du   CONSTRUCTEUR » à compter du 18 avril prochain.

 

Votre bien dévoué Confrère.

 

Le 12/04/2011  J’adresse un courrier par Fax à MON troisième AVOCAT mandaté par MA CIE D'ASSURANCES.

 

Mail du 20 avril 2011 14H24 de MON troisième AVOCAT :

 

Madame, Monsieur,

 

Dans le prolongement de ma dernière missive, je vous prie de bien vouloir trouver ci-joint, pour information :  

  • Un tirage des courriers officiels reçus du Conseil de la société « Le Nom du Constructeur » en date des 7 mars 2011 et 8 avril 2011. Vous voudrez bien me confirmer, par retour et par écrit, qu’il n’y a aucune difficulté pour que la société « Le NOM du  CONSTRUCTEUR» intervienne du lundi 18 avril au mardi 27 avril 2011. Je vous remercie de bien vouloir me fixer. 

Dans l’attente, je vous prie de me croire, Votre bien dévoué (L’AVOCAT).

 

Le 24/08/2011 J’adresse un courrier par Fax à MON troisième AVOCAT mandaté par MA CIE D'ASSURANCES.

 

Le 25/10/2011 J’adresse un courrier par Fax à MON troisième AVOCAT mandaté par la DIRECTION REGIONALE de MA CIE D'ASSURANCES. 

 

Le 31 octobre 2011 MON troisième AVOCAT, (qui n’est autre que l’AVOCAT PERSONNEL de la DIRECTION REGIONALE de MA CIE D’ASSURANCES),  m’adresse par simple lettre et lettre Recommandé N° 1A 065 141 XXXX 7 du 31/10/11 ci-dessous, toutes deux sont affranchies au 02 novembre 2011.

 

Monsieur,

 

Dans l’affaire citée en références, je fais suite à votre missive du 28 octobre 2011.  

 

Dans cette affaire, je vous ai transmis, il y a un certain temps, les conclusions du rapport d’expertise déposées par Monsieur « le NOM de L’EXPERT JUDICIAIRE».

 

Je vous avais, par ailleurs, en date du 20 avril 2011, demandé de me confirmer, par retour, qu’il n’y avait pas de difficulté sur les dates d’intervention fixées par la SAS « Le NOM du CONSTRUCTEUR » courant avril 2011, avant de vous inviter à être présent à la date prévue pour l’intervention.

 

Or, vous n’avez jamais repris attache avec mon Cabinet. Aujourd’hui, je constate avec stupéfaction que vous n’avez pas laissé l’entreprise intervenir et que vous n’avez pas procédé au règlement du solde revenant à la SAS « Le NOM du CONSTRUCTEUR ».

 

Je me permets de vous rappeler que vous vous mettez dans une situation délicate puisque votre responsabilité se trouve aujourd’hui engagée.

 

En effet, la SAS « Le NOM du CONSTRUCTEUR» a pris toutes ses dispositions pour intervenir et terminer les travaux tels que préconisés par l’EXPERT «c’est à dire L’EXPERT JUDICIAIRE».

 

Depuis le début de mon intervention, vous ne suivez pas mes conseils, ni ceux du Cabinet (le NOM de l'EXPERT de MA CIE D’ASSURANCES), notamment en ce qui concerne votre refus obstiné d’accepter l’indemnisation de la reprise de l’affaissement du liteau de la baie libre en sous-sol sous le mur de la façade arrière afin que les travaux soient réalisés dans les meilleurs délais.

 

En effet, une proposition d’un montant de 4.970€ vous avait été faite en mars 2010.

 

Or, vous la refusez sans raison valable.

 

L’EXPERT vous a rappelé, dans son rapport, que ce retard sans grief était préjudiciable car il y avait un risque d’aggravation qui pouvait engendrer des désordres sur l’ensemble de l’immeuble.

 

L’EXPERT vous a rappelé, également tout comme le Cabinet « NOM de L’EXPERT de MA CIE D’ASSURANCE » et moi-même, que l’absence de garde-corps et le danger que cela représentait devait être réglé rapidement.

 

L’EXPERT avait également indiqué qu’il trouvait anormal que vous habitiez votre maison depuis plus de deux ans et que vous deviez à la SAS « Le NOM du CONSTRUCTEUR » la somme de 7.229.94€ ainsi qu’au Etablissement « NOM du PLOMBIER CHAUFFAGISTE » la somme de 5 000€.

 

Vous n’avez donc nullement cru bon d’écouter mes conseils, ni ceux du Cabinet « NOM de l’EXPERT de MA CIE D’ASSURANCES», pas plus que ceux de l’EXPERT JUDICIAIRE.

 

J’entends donc, par la présente, dégager la responsabilité. Je vous indique que je classe ce dossier, étant précisé que l’ensemble des pièces de votre dossier est à votre disposition à mon Cabinet contre reçu.

 

J’adresse un tirage de la présente à la «le NOM de MA  CIE D'ASSURANCES».

 

Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie de me croire, Votre bien dévoué

 

(Signer de MON troisième AVOCAT qui est aussi l'AVOCAT PERSONNEL de la DIRECTION  REGIONALE de MA CIE D’ASSURANCES).

 

 

Une seule précision pour l’instant, je n’ai jamais fait de courrier en date du 28 octobre 2011 . 

 

Le 04/11/2011 J’adresse un dernier courrier par Fax à MON troisième AVOCAT mandaté par la DIRECTION de MA CIE REGIONALE D'ASSURANCES.

 

 

 

Mis en ligne le vendredi 05 Juin 2015 à 18h54 par Patrick DEREUDRE

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