- AVOCATS AUX ABOIS : PIRATERIE ET GESTE EQUIVOQUE PLACE VENDÔME -
Bonjour à tous,
La tragédie de notre époque, c'est le retour de la violence à tout-va, les actions brutales se substituant de plus en plus au dialogue démocratique.
Violence sociale, violence morale, vandalisme politique, violence des mots, des images et des gestes, la sauvagerie transforme notre civilisation en une sorte de jungle moderne, que le plus
fort gagne, mort au faible !
Face à cette régression, les gens de justice auraient dû réagir depuis longtemps, alerter les concitoyens, recadrer les élus, se mobiliser contre la corruption généralisée.
Malheureusement, les magistrats et autres fonctionnaires de l'institution judiciaire ne constituent pas un véritable pouvoir mais un simple service public, étant subordonnés aux politicards
qu'ils sont supposés contrôler, entravés dans leur mission.
D'ailleurs, aucun magistrat français n'a plus été assassiné depuis le décès du juge Pierre Michel en octobre 1981, c'est dire à quel point ils ne dérangent aucunement les réseaux criminels,
ces derniers s'infiltrant au plus haut niveau de l'Etat français.
Quant aux avocats, leur corporation est surtout le laboratoire social de cette violence triomphante, les infractions commises par les caciques de ce petit monde bénéficiant d'une omerta tout
aussi redoutable que celle d'une mafia.
Pour exemple, des avocates subissent toutes sortes d'humiliations à connotation sexuelle, sans oser se plaindre à visage découvert, parce qu'elles savent que les représailles corporatistes se
transforment vite en mort sociale.
Il en va de même des jeunes collaborateurs et des avocats d'origine modeste, précarisés à outrance, socialement et juridiquement vulnérables, leur statut professionnel ne les protégeant même
pas autant que celui d'un salarié ordinaire.
La bonne blague !
A telle enseigne, figurez-vous, que l'avocat libéral victime de "mobbing"(*) ou de "gang stalking"(**) ne peut exercer aucun droit d'alerte ni aucun droit de retrait spécifique, il est nu,
désarmé comme un soignant sans protection, inapte à faire valoir sa liberté de travailler, totalement impuissant face aux réseaux de la corruption.
C'est tellement vrai que, le 2 mai 2018, le journal Le Monde parlait du barreau en ces termes :
" LA LOI DU SILENCE REGNE "
Si la loi du silence règne, tout est dit, nous voilà au sein d'une mafia.
Toute honte bue, nos gens de robe se croient cependant chevaleresques sous leurs soutanes moyenâgeuses, investis d'une légitimité transcendante, alors qu'ils se comportent comme des bouffons,
n'étant même pas fichus d'agir en justice contre le crime dont ils se prétendent victimes.
Tout ce qu'ils trouvent à faire, c'est battre le pavé, eux qui devraient montrer l'exemple et saisir la magistrature à chaque fois que c'est possible dans l'intérêt du peuple ou de la
démocratie.
C'est ainsi que nous les retrouvons une fois de plus dans la rue à gesticuler, ahuris, comme des épouvantails de luxe Place Vendôme, avec des drapeaux de pirate, une avocate levant son bras
droit tendu dans une posture équivoque.
La "paranoÏa" les gagnerait-elle ?
N'articulant plus qu'un vocable morbide, leurs bouches aux abois crient de désespoir, le reste de leurs carcasses singeant leurs propres obsèques à coup de pavillons noirs et têtes de mort,
c'est de pire en pire !
Les symboles ont cependant du sens, car la piraterie n'est pas qu'un mot innocent les concernant, je peux en témoigner.
Pour mémoire, en février 2015, un petit bâtonnier de Rouen, fils d'avocat et d'avocate se croyant tout permis, ordonnait illégalement que mes clients soient invités à changer d'avocat, un
véritable acte de piraterie corporatiste.
Dans le prolongement de cette forfaiture, pour couvrir ses méfaits, le bébé de papa-maman tentait de me faire passer pour un dangereux terroriste kamikaze, avec la complicité d'une certaine
Françoise Santiard, avocate inscrite au barreau de Paris sous la fausse identité de Marie Santiard ; me croyez-vous ?
Sur la base de cette machination, le procureur de Rouen, entre-temps nommé par Emmanuel Macron à la tête du Parquet national financier, faisait envoyer contre moi la BRI, sans se donner la
peine de vérifier la crédibilité de Maître Françoise Santiard.
Or il faut savoir que Maître Françoise Santiard est une menteuse invétérée, vivant aux crochets de son riche époux, et qu'elle était poursuivie, avec son cher et tendre Karim Achoui, pour
escroquerie en bande organisée par le parquet de Paris depuis 2011...!!!
C'est ça le témoin contre moi ?
Résumons !
En l'occurrence, des gens de justice ont essayé, aux moyens de faux témoignages, de provoquer envers moi une bavure policière, en me décrivant auprès des forces de l'ordre comme un dangereux
kamikaze soi-disant sur le point de faire un carnage en 2015 et n'engageant le combat que pour tuer (Sic)...!!!
Heureusement, j'étais absent au moment de l'assaut ainsi lancé contre moi.
Tout était faux, je n'ai d'ailleurs tué personne depuis lors malgré tout le mal qui m'est infligé illégalement.
A la suite de cette tentative criminelle, je n'ai évidemment pas cessé d'alerter le ministère de la Justice et d'appeler au secours les instances du barreau, sans jamais obtenir la moindre
empathie de ces gens arrogants qui se prétendent garants de nos droits et libertés.
Autrement dit, j'ai subi à mon tour la fameuse "loi du silence" évoquée dans Le Monde.
Sans surprise, le barreau de Paris couvre la petite bande de Maître Françoise Santiard dont l'époux est un notable très influent, médaillé de la République, appartenant au gotha de
l'oncologie mondiale, Médecin en chef du service de santé des armées, vous m'en direz tant !
Forcément, l'intrigante de haute lignée, épouse Martelet, se croyait intouchable sous l'aile de son infortuné mari dont 130.000,00 euros durement gagnés profitaient, grâce à elle, au
séduisant Karim Achoui.
C'est ainsi que, par SMS du lundi 30 novembre 2015, Maître Françoise Santiard me promettait de "solides ennemis", juste avant de faire envoyer la BRI contre moi, soit une menace littérale
suivie d'effet, sans réaction appropriée du parquet de Rouen, bravo la Justice !
Peu importe, mon cas n'est malheureusement pas isolé, il est simplement symptomatique d'un mal baroque et profond.
Beaucoup d'autres malheureux, tant d'autres justiciables, se font balader par des avocats malintentionnés qui abusent de la crédulité des victimes d'injustice pour leur soutirer de vains
honoraires en échange d'une procédure qui durera, lente, douloureuse et infertile.
C'est probablement en considération du marché de dupe qu'est devenu leur métier, que nos gens de robe se gardent bien de saisir la Justice des crimes qu'ils dénoncent, préférant s'en plaindre
comme des cheminots devant les portes d'un ministère.
Au vu d'un tel tableau, la corporation des avocats mérite son sort funeste, il faut même espérer que ses membres les plus véreux feront faillite et finiront ruinés.
Le prochain confinement pourrait bien les achever.
Une fois que nous serons débarrassés de ces brebis galeuses, alors nous pourrons bâtir un nouveau prétoire, sainement, pour que le droit et la liberté soient de nouveau défendus avec force
par des esprits libres, autonomes et bienveillants.
Vive les obsèques de la loi du silence, à bas la corpo-mafia, n'ayons foi qu'en l'Avocat de demain !
Me W.Paris, avocat dissident, menacé de mort en France.
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(*) - Le "mobbing" (également appelé terreur psychique) comprend des actes dirigés par un individu ou un groupe de manière systématique à l’encontre d’une personne en particulier dans le but
de l'inciter à abandonner son poste, son métier ou tout autre enjeu de pouvoir.
(**) - Le "gang stalking" est un harcèlement qui est pratiqué sur une personne - la cible - en manipulant de nombreuses autres personnes - les pions - qui deviennent les collaborateurs et
les
exécutants de ce harcèlement ; ces pions sont contrôlés par le biais des organisations et des réseaux qui mettent en œuvre des stratégies sophistiquées.