Stop CORRUPTION Stop
Page mise en ligne le Jeudi 17 Décembre 2020 à 02h22
par Patrick DEREUDRE Lanceur d'Alerte (Loi N°2016-1691)
www.jenesuispasunchien.fr www.jesuispatrick.fr
www.stopcorruptionstop.fr
Une affaire d'État
Maître Wilfried PARIS
Avocat Menacé de Mort
LA LOI DU SILENCE RÈGNE
https://www.facebook.com/wil.pirs
· - - AU VISA DE L'ARTICLE 222-3 DU CODE PENAL : JE ME DECLARE VICTIME DE TORTURE MORALE SUR AVOCAT AU SENS PENAL = 20 ANS DE RECLUSIONS CRIMINELLE - -
Réquisitions du procureur de la République contre Sarkozy et le Juge Azibert, très bon travail !
Mais...
"Etat de droit", vous avez dit "Etat de droit" Monsieur Bohnert...?!?
Pardon !?!
J'ai dû rêver...
Quand un procureur s'amuse à "créer" les circonstances de la flagrances pour mettre en danger de mort physique un avocat de la défense ou bien sa famille sur la base des dires mensongers et délirants d'une intrigante agissant par téléphone et sous fausse identité, depuis l'étranger, alors qu'elle est pénalement poursuivie en France, euh...!!! ...on ne vient pas se targuer de l'Etat de droit, merci.
Me W.Paris, avocat victime de torture morale au sens de la Convention du 10 décembre 1984.
https://www.youtube.com/watch?v=D0b-lKfhzWQ&fbclid=IwAR0b7F1LcxldPYM9fRPqKPMYAO2KcsWuCv_S_q_Vx38OWB6ackby7F-z6xY
STOP CORRUPTION Stop MAFIAS
La Face Cachée de la
JUSTICE en France
LA LOI
DU SILENCE RÈGNE
ET CE MALGRÉ DES SCOOPS JUDICIAIRE
https://www.facebook.com/wil.pirs
https://www.facebook.com/marianne.evol.94/videos/179323003745385
- - JE FAIS CETTE VIDEO PAR MESURE DE SECURITE, AU VU DE CE QUE M'A FAIT SUBIR LE PROCUREUR JEAN-FRANCOIS BOHNERT DEPUIS LE 3 DECEMBRE 2015 : CINQ ANS DE TORTURE MORALE - -
Et c'est ce magistrat du Parquet national financier qui vient reprocher à Monsieur Gilbert Azibert d'avoir voulu aider un peu Monsieur Nicolas Sarkozy, dans le contexte de machinations judiciaires à tout-va que je dénonce depuis des années dans le silence coupable des médias, la belle blague !
Je précise, à toutes fins utiles, que l'affaire "créée" contre moi par Monsieur Jean-François Bohnert a été censurée par La Chambre criminelle de la Cour de cassation le 11 avril 2018, puis par la Cour d'appel de Caen sur renvoi après cassation de ma condamnation initiale (par des magistrats rouennais proches du bâtonnier qui m'accusait frauduleusement au moyen d'un témoin ayant faussé son identité.)
- JOYEUX NOËL LES AMIS, LA REVOLUTION EST EN MARCHE ! -
Me W.Paris, avocat victime d'une "création judiciaire" de Monsieur Jean-François Bohnert.
Stéphane Stef Espic
Marianne Evol
Christophe Chalençon
Valérie Vidal
ANTICOR
LCI
LCI Essentiel
BFMTV
CNEWS
Le Parisien
Le Figaro
Mediapart
EDWY PLENEL
AgoraVox
Sophie Tissier
Opérations Spéciales GJ
https://www.facebook.com/wil.pirs/videos/855718178576302
- SCANDALE D'ETAT : CE PROCUREUR EST CELUI QUI M'A MIS EN DANGER DE MORT, LE 3 DECEMBRE 2015, SUR LES DIRES D'UNE INTRIGANTE AGISSANT PAR TELEPHONE SOUS FAUSSE IDENTITE, LA BONNE BLAGUE...!!! - -
"Entendre parler de République et d'Etat de droit de la bouche d'un procureur qui a créé une affaire de toutes pièces pour mettre en danger de mort physique un avocat de la défense n'est pas une gageure, c'est une infamie."
Me W.Paris, avocat victime de tentative d'assassinat le 3 décembre 2015, en France.
Stéphane Stef Espic
Opérations Spéciales GJ
EJL Citoyens
Walter Boujenah Ejlc
Valérie Vidal
Christophe Chalençon
https://www.lepoint.fr/justice/affaire-des-ecoutes-le-pnf-jure-n-etre-pas-sorti-des-clous-30-06-2020-2382503_2386.php?fbclid=IwAR1hafq0tMi19-tTeFCVzD4HTVVPPWqrk-Yg6N_w1rUtREBjwicp56ilZvo
- - CHRONOLOGIE JUDICIAIRE TRES SENSIBLE - -
Bonsoir à tous,
Je n'aime pas Monsieur Nicolas Sarkozy.
Je n'aime pas ce qu'il a fait de la France.
Je n'aime pas ses idées.
Je n'aime pas les avocats qui le soutiennent...
En outre, ce dont il est accusé est de nature à rompre toute confiance des justiciables à l'endroit des juges et des avocats, c'est pourquoi je me suis constitué partie civile dans cette affaire, tardivement, avec deux camarades...
Mais...
En toute objectivité, et, au vu de ce que j'ai subi en qualité d'avocat, je ne peux totalement exclure l'hypothèse complètement folle qu'il ait été victime d'un complot très élaboré l'ayant peut-être contraint à mal agir.
Alors je livre au grand public une chronologie judiciaire pour le moins troublante à l'endroit des socialistes...
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- 14 mai 2011 : Monsieur Dominique Strauss-Kahn est arrêté aux USA pour une étrange affaire sexuelle qui l'empêchera de se présenter à l'élection présidentielle de mai 2012 ;
- 14 avril 2012 : Monsieur Jacques Robert, vice-procureur de Tarascon, est retrouvé seul, chez lui, mort par pendaison un samedi soir ;
- 6 mai 2012 : Monsieur François Hollande, né à Rouen et ayant grandi à Rouen, fils de médecin, est élu président de la République en face de Monsieur Nicolas Sarkozy ; - 16 mai 2012 : Madame Valérie Fourneyron, née à Rouen et ayant grandi à Rouen, médecin, est nommée ministre des sports, de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, par son ami Monsieur François Hollande ;
- 21 novembre 2012 : nomination de Monsieur Jean-François Bohnert au poste de procureur de la République de Rouen par Monsieur le Président de la République François Hollande ;
- 2 avril 2013 : le procureur de Tarascon écrit à Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert pour l'inciter à intervenir contre moi, à Rouen, au prétexte que je m'intéresse aux modalités de ce "suicide", outre quelques propos désagréables à l'endroit de l'avocat Karim Achoui ;
- 25 avril 2013 : Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert écrit au bâtonnier de Rouen, Philippe Lescène, pour lui demander quelles suites il pourrait donner à mes propos et considérations, les qualifiant de "désobligeants", mais n'obtient pas satisfaction ;
- 25 février 2014 : un article alarmant paru dans L'Express accuse le cabinet d'avocats de l'ancien bâtonnier, Marc Absire, d'avoir perçu pour environ 65.000,00 euros d'honoraires au titre de marchés publics de prestations juridiques qui lui furent confiés par la Mairie de Rouen sous le mandat de Madame Valérie Fourneyron, née Absire, dont il est le frère ;
- 15 avril 2014 : le Gouvernement socialiste annonce officiellement que Madame Valérie Fourneyron souffre d'un syndrome méningé, à la suite duquel interviendra sa démission, sans que ne soient ordonnées des poursuites pénales par Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert, alors que les conditions d'attributions de ces marchés publics étaient très suspectes ;
- 25 juin 2014 : alors que je plaide une affaire dans laquelle je soupçonne un usage de faux devant le Conseil des prud'hommes de Rouen, je suis injurié et menacé publiquement par une avocate rouennaise qui me déclare que je suis "la honte du barreau de Rouen", et, que l'on va me retirer ma robe d'avocat ;
- 10 février 2015 : à la suite du changement de bâtonnier, le barreau de Rouen adopte une délibération d'omission m'interdisant d'exercer mon métier, au motif principal d'un gros retard dans le paiement de mes charges, malgré une hernie discale invalidante dont j'avais informé l'ancien bâtonnier, ;
- 20 février 2015 : le nouveau bâtonnier, Monsieur Arnaud de Saint-Rémy, établit abusivement un acte intitulé "ordonnance", prévoyant d'inviter mes clients à changer d'avocat et de décider de l'affectation de mes fonds à ma place ( !!! ) ;
- 26 mars 2015 : Monsieur le Bâtonnier Arnaud de Saint-Rémy m'adresse une lettre mensongère dans laquelle il affirme, en violation de la loi, que je n'ai plus le droit d'exercer mon métier ;
- 6 octobre 2015 : ayant interjeté appel de l'acte d'omission pris contre moi le 10 février 2015, je parviens à obtenir le renvoi de la loi Gayssot devant le Conseil constitutionnel, dans le cadre d'une question prioritaire de constitutionnalité très sensible politiquement, un défi intellectuel que j'avais relevé pour essayer de me faire un nom en droit de la presse ;
- 7 octobre 2015 : très agréablement surpris, le client pour le compte duquel j'avais réalisé cet énorme travail me promet de réunir 45.000,00 euros, afin que je puisse purger tout mon passif de charges ;
- 27 octobre 2015 : cette promesse est tenue, en sorte que toutes mes charges en retard sont payées ;
- 27 octobre 2015, au soir : je me déplace à Rouen pour payer mon arriéré de cotisations ordinales au barreau de Rouen, et, remettre aux gens de justice de Rouen deux dossiers aux termes desquels je me plains d'une situation de harcèlement moral confinant, selon moi, à une forme de tentative de provocation au suicide, en toute objectivité, et, indépendamment de ma forte capacité à endurer cette torture morale ;
- 7 novembre 2015 : j'enregistre un nouveau brouillon de plainte pénale mettant en cause des notables de plusieurs barreaux, notamment Monsieur le Bâtonnier Arnaud de Saint-Rémy, son ami l'ancien Bâtonnier Marc Absire, et, l'avocat Karim Achoui, du chef de torture morale de type "mobbing", outre d'autres infractions gravissimes ;
- 9 novembre 2015 : un de mes clients adresse un courrier de mise en cause pénale et financière à Madame Santiard, déjà poursuivie pour escroquerie en bande organisée avec son comparse, l'avocat Karim Achoui ;
- 11 novembre 2015 : je reçois un SMS menaçant de Madame Santiard ;
- 13 novembre 2015 : l'attentat du Bataclan m'incite à repousser mon projet de plainte pénale à plus tard, dans la mesure où cette tragédie monopolise tous les services de l'Etat, notamment ceux du parquet de Paris que je souhaitais saisir de ma plainte ;
- 19 novembre 2015 : je reçois plusieurs SMS menaçants de Madame Santiard ;
- 24 novembre 2015 : il est dit, dans un courrier de l'ancien bâtonnier de rouen que Madame Santiard a contacté le barreau de Rouen en se présentant être mon avocate et me décrivant comme un dangereux tueur "kamikaze" ;
- 30 novembre 2015, à 15 heures 18 : je reçois un SMS menaçant de Madame Santiard me promettant de "solides ennemis" sur le point d'agir contre moi ;
- 30 novembre 2015, vers 17 heures 30 : je suis faussement accusé de menaces de mort par la directrice de greffe de la Cour d'appel de Rouen ;
- 30 novembre 2015, en soirée : les quatre plus hauts magistrats de la Cour d'appel de Rouen diffusent auprès de toutes les juridictions de Normandie un courriel mensonger prétendant illégalement que Maître Wilfried Paris n'a plus le droit d'exercer son office d'avocat ;
- 1er décembre 2015 : Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert commet un lapsus calami, un lapsus accablant, puisqu'il emploie le verbe "créer", aux termes d'un soit-transmis relatif à l'affaire qu'il est en train de broder contre moi ;
- 2 décembre 2015, au matin : Madame Santiard, agissant par téléphone et sous fausse identité, indique aux policiers de Rouen que je suis un dangereux paranoïaque disposant de caches d'armes, très intelligent et très vicieux, souffrant de paranoïa aiguë, n'engageant le combat que pour tuer, et j'en passe ( !!! ) ;
- 2 décembre 2015, au soir : Madame Santiard renouvelle ses accusations contre moi, toujours par téléphone et sous fausse identité ;
TRES IMPORTANT : plusieurs membres de la famille de Madame Santiard sont cadres du Rotary District 1750 sur Dijon, or toute la famille de Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert, à savoir lui, son épouse, et leur deux enfants, sont également des acteurs du Rotary District 1750 sur Dijon ;
- 3 décembre 2015, à 06 heures du matin : Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert, accompagné de l'ancien bâtonnier Marc Absire, lance contre moi, chez mes vieux parents, un assaut de la BRI de Rouen, alors qu'il aurait suffi, pour m'interpeler en toute sécurité, de me faire attendre au Conseil constitutionnel, où je devais plaider face à Monsieur Manuel Valls le mardi 8 décembre 2015, sachant que l'entrée de ce lieu est équipée d'un détecteur de métaux ;
- TRES IMPORTANT : compte tenu de la nature très sensible de l'affaire dont je traitais devant le Conseil constitutionnel, si j'étais mort durant cet assaut très violent du jeudi 03 décembre 2015, c'est vers une communauté particulièrement attachée au maintien de la loi Gayssot que les soupçons de barbouzerie criminelle se seraient immédiatement portés ; fort heureusement, je n'étais pas là donc j'ai survécu à cette machination abominable, puis j'ai compris a posteriori que tout l'intérêt d'avoir lancé cet assaut contre moi, à cette date précise, résidait dans la volonté abjecte de faire imputer mon décès, le cas échéant, à des boucs émissaires qui n'avaient en vérité aucune raison sérieuse de vouloir s'en prendre à ma vie ;
- 3 décembre 2015, vers 7 heures 30 : alors que mes parents sont en état de choc à la suite de l'assaut terrifiant auquel il viennent d'être confrontés, Monsieur le Procureur Jean-François Bohnert leur demande s'ils sont d'accord pour me faire interner d'office en hôpital psychiatrique, renouant pour le coup avec les bonnes vieilles méthodes staliniennes ( !!! ) ;
- 3 décembre 2015, au soir : un policier me contacte pour me demander de venir au commissariat de Rouen, j'y viens spontanément puis je finis en garde à vue, au prétexte de soi-disant menaces de mort ( !!! ) ;
- 4 décembre 2015, au matin : alors que je suis en garde à vue, la presse publie des informations confidentielles sur moi et l'enquête en cours, en totale violation du secret de l'enquête, me faisant faussement passer pour un avocat en dérive, assimilable au malheureux avocat qui avait tiré sur un bâtonnier, le 29 octobre 2015, à Melun ;
- 4 décembre 2015, au soir : le Conseil constitutionnel adresse un message mensonger au client que je représentais au titre de la QPC sur la loi Gayssot, lui indiquant faussement que je n'avais plus le doit d'exercer mon métier, et, l'invitant à choisir un autre avocat ;
- 7 décembre 2015 : après 45 heures de garde à vue, un passage devant le JLD, et la pire humiliation que puisse vivre un avocat de la défense, je me remets un peu, puis, je rédige et j'introduis en extrême urgence un référé d'heure à heure devant le Tribunal de grande instance de Rouen dont le président me donnera raison en contraignant Monsieur le Bâtonnier Arnaud de Saint-Rémy à bien vouloir cesser de m'entraver, et, rétablir mon profil professionnel sur la liste des avocats du barreau de Rouen ;
- 8 décembre 2015 : je plaide devant le Conseil constitutionnel, épuisé, tant physiquement que moralement, sans avoir pu préparer ma prise de parole, totalement discrédité, très diminué intellectuellement, en état de choc persistant ;
- 8 décembre 2015 : le Conseil supérieur de la magistrature adopte un avis favorable à la promotion de Monsieur Jean-François Bohnert, comme par hasard ( ! ) ;
- 24 décembre 2015 : par décret signé à la fois de Monsieur le Président de la République François Hollande, de Monsieur le Premier ministre Manuel Valls, et, de Madame le Garde des Sceaux Christiane Taubira, Monsieur Jean-François Bohnert est nommé avocat général près la Chambre criminelle de la Cour de cassation, c'est un très beau cadeau de Noël pour lui pendant que je subis une violence morale incommensurable à cause de lui et Madame Santiard ;
- 8 janvier 2016 : sans surprise au vu du sabotage judiciaire que j'ai subi, ma QPC sur la loi Gayssot prônant l'égalité de traitement des mémoires est rejetée ;
- 28 janvier 2016 : très curieusement, un article paraît dans Le Point pour nous annoncer que Monsieur François Hollande veut modifier la loi Gayssot, dans des termes très analogues à l'égalité mémorielle que j'avais préconisée devant le Conseil constitutionnel, soit une validation paradoxale de mes travaux, comme si l'on avait voulu me priver d'une victoire que j'avais peut-être bien méritée devant le Conseil constitutionnel ;
- 13 mars 2016 : dans ce contexte judiciaire particulièrement malsain, une étrange cliente reliée à Monsieur Karim Achoui m'adressait une photographie très aguicheuse par MMS, après m'avoir fait, quelque temps plus tôt, des propositions de massages et d'autres sollicitations confinant à la provocation sexuelle ;
TRES IMPORTANT : cette jolie femme est l'une des accusatrices de Monsieur Tariq Ramadan, comme par hasard ( !!! ) ;
- 23 mai 2016 : Maître Bernard Ripert, avocat pénaliste au barreau de Grenoble, est arrêté puis interné d'office en établissement psychiatrique, au motif d'un regard jugé "trop noir" par un magistrat, alors je contacte mon confrère François Danglehant et nous partons pour Grenoble afin de contribuer à la défense de notre malheureux confrère qui a ensuite gagné son procès contre le parquet général de Grenoble ;
- 16 juin 2016 : pour la première fois de ma vie, je publie une vidéo afin d'expliquer au grand public ce qu'il se passe dans la Justice, et j'adresse à Monsieur Jean-Jacques Urvoas, ministre de la Justice, une alerte contre le harcèlement moral dans le milieu judiciaire ;
- 14 juillet 2016 : huit petits mois après sa participation à l'assaut de la BRI lancé par le procureur Jean-François Bohnert contre moi, l'ancien bâtonnier de Rouen, Monsieur Marc Absire, reçoit la légion d'honneur de Monsieur le Président de la République François Hollande, ami de Madame Valérie Fourneyron et de Monsieur Marc Absire, son frère bien doté en honoraires ;
- 14 octobre 2016 : après avoir adressé trois courriels d'appel au secours à tous les députés et sénateurs en exercice, je diffuse des vidéos d'alerte pour demander une enquête parlementaire sur mon affaire et la profession d'avocat, vainement ;
- 11 février 2017 : bien que je sois politiquement à gauche, je m'indigne contre les méthodes déployées pour saboter la candidature de Monsieur François Fillon à l'élection présidentielle, le 24 janvier 2017, car je considère que le fait d'avoir dissimulé au grand public une affaire pénale puis de l'avoir sortie aussi soudainement par le biais du secret de la presse ne procède que d'une volonté évidente de fausser les élections de 2017 en suivant la technique - frauduleuse - dite "de l'affaire pénale surgelée" ;
- 5 avril 2017 : l'époux de Madame Santiard bénéficie d'un décret de Monsieur le Président de la République François Hollande pour devenir chevalier de la Légion d'honneur, ce qui suggère quelque lien entre le chef de l'Etat la famille Santiard ;
- IMPORTANT : Madame Santiard s'étant vantée de pouvoir mobiliser contre moi de "solides ennemis", il n'est pas interdit de se demander à quel niveau de pouvoir elle faisait référence pour "trafiquer" contre moi, sachant qu'elle est amie avec un ministre socialiste du premier gouvernement nommé par Monsieur François Hollande, à savoir Monsieur [...CENSURE...] ;
- 24 avril 2017 : dans le cadre de mes actions contre ce que je considère comme une forme de fraude électorale par détournement des effets de la loi pénale, je publie une ultime vidéo pour proposer aux électeurs de contester l'élection présidentielle devant le Conseil constitutionnel, puis j'introduis ce recours au soir du second tour, vainement ;
- 10 octobre 2017 : ayant été injustement condamné par les juges rouennais, en première instance comme en appel, pour des faits de soi-disant menaces de mort, j'introduis un pourvoi en cassation devant la Chambre criminelle de la Cour de cassation et je rédige par moi-même mon mémoire personnel ;
- 30 décembre 2017 : par décret n°0305 du 30 décembre 2017, Monsieur le Président de la République, Emmanuel Macron élève MonsieurJean-François Bohnert ainsi que Madame Valérie Fourneyron au grade de chevalier de la Légion d'honneur, sept mois après le départ de Monsieur François Hollande, son mentor ;
- IMPORTANT : le fait que ces deux personnes soient reliées dans mon affaire puis gratifiées d'une décoration honorifique dans un même décret ne manque pas d'interroger ;
- 11 avril 2018 : la Chambre criminelle de la Cour de cassation annule la condamnation pour menaces de mort prononcée contre moi, mais cette affaire d'Etat absolument scandaleuse fait l'objet d'une omerta forcenée, malgré les centaines d'alertes que j'ai diffusées pour faire connaître ce scandale d'Etat ;
- 23 février 2019 : étant informé que Monsieur Jean-François Bohnert espère devenir le tout premier Procureur européen contre la corruption, je fabrique un dispositif mobile de manifestation pour soutenir la candidature à ce poste de Madame Laura Codruta Kövesi, une femme véritablement héroïque en matière de lutte anticorruption contre une certaine mafia socialiste de Roumanie, puis j'engage une campagne d'alertes sur Twitter, tant et si bien que des articles de la presse roumaine évoqueront mon soutien d'avocat français comme un fait important, et, qu'une pétition sera lancée pour inviter le candidat français à se retirer, signée par des milliers de personnes ;
- 7 octobre 2019 : ayant échoué à devenir chef du Parquet européen, Monsieur Jean-françois Bohnert est nommé chef du Parquet national financier, justement celui dont je voulais saisir ma plainte pénale fin 2015, un revers très contrariant pour moi, compte tenu de que ce magistrat m'a fait subir ;
- 9 décembre 2019 : j'ai introduit un recours en excès de pouvoir contre le décret de nomination de Monsieur Jean-François Bohnert à la tête du Parquet national financier, en évoquant notamment ce qu'il m'a fait subir, mais ce recours tarde à aboutir ;
- 9 décembre 2019 : j'ai également introduit un recours en excès de pouvoir, contre le décret de nomination de Monsieur Jean-Michel Prêtre à la Cour d'appel de Lyon, au motif essentiel que ce procureur avait menti, concernant Madame Geneviève Legay, à Nice ;
- 15 janvier 2020 : Madame Santiard et son ami Karim Achoui sont relaxés par la Cour d'appel de Paris, aux termes d'un arrêt qui refuse d'appliquer la loi, et dans un contexte où l'avocat de la victime d'escroquerie en bande organisée a trahi son client à plusieurs reprises, notamment en le trompant sur la date du délibéré avec pour effet de le priver de sa possibilité de pourvoi en cassation ;
- 24 janvier 2020 : la victime de la bande Santiard & Achoui introduit un pourvoi en cassation, hors délai à cause de son avocat, en sollicitant l'intervention du parquet général qui dispose d'un délai plus long mais le parquet général ne donne pas une suite favorable à cette demande, alors qu'il s'agit d'une affaire majeure de nature à porter atteinte à l'Etat de droit puisque le justiciable a été trompé par son propre avocat sur ses droits ;
- TRES IMPORTANT : le fait que Madame Santiard et son ami Karim Achoui aient obtenu une relaxe dans une affaire où leur culpabilité ne faisait absolument aucun doute, apparaît, dans le contexte judiciaire de trafic d'influence révélé par l'affaire dite "des écoutes Paul Bismuth", comme un autre cas potentiel de trafic d'influence, en faveur cette fois-ci de la bande Santiard & Achoui, d'autant plus plausible que Madame Santiard n'en est pas à son coup d'essai en matière de trafic d'influence puisqu'elle se vantait, le 30 novembre 2015, de pouvoir mobiliser contre moi de "solides ennemis", juste avant que ne soit lancé un assaut des forces spéciales de la BRI chez mes parents, assaut manifestement destiné à me faire taire définitivement (ou me discréditer faute de mieux), à propos de ses petites affaires avec Monsieur Karim Achoui, et, relaxe anormale qui a très bien pu être concédée à Madame Santiard en échange de ses faux témoignages pour aider le barreau de Rouen à me mettre "hors d'état de nuire" (Sic), c'est l'expression qui fut employée par écrit, noir sur blanc, le 24 novembre 2015 ;
- 10 juin 2020 : l'ex-chef du Parquet national financier, Madame Eliane Houlette, évoque devant une commission d'enquête parlementaire, l'affaire Fillon, et, dénonce les "pressions" qu'elle aurait subies de la part du parquet général, notamment en termes de demandes de remontées d'informations, et ce, à un rythme soutenu, révélations qui, de la part d'un magistrat de ce niveau, constituent une alerte lourde de sens ;
- 7 septembre 2020 : j'ai saisi le Conseil d'Etat d'un recours en excès de pouvoir contre le décret de nomination de Monsieur Eric Dupdond-Moretti comme ministre de la Justice, au motif essentiel que cette fonction le place en situation de conflit d'intérêts ;
- 25 septembre 2020 : la Chambre correctionnelle de la Cour d'appel de Caen, saisie du renvoi de mon affaire après cassation, m'a relaxé mais je ne parviens toujours pas à obtenir copie de l'arrêt, malgré mes demandes auprès de la Cour d'appel de Caen.
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CONCLUSION :
Comme je le disais en introduction, quand je vois ce que j'ai subi personnellement, ou bien ce que j'ai observé dans la Justice, je me dis qu'il ne serait pas totalement délirant d'envisager l'éventualité d'un vaste complot ayant ciblé Monsieur Nicolas Sarkozy et l'ayant poussé à mal agir, toute action illégale pouvant se concevoir comme une réaction légitime contre une première action illégale.
Autrement dit, se pose la question de savoir si Monsieur Nicolas Sarkozy n'aurait pas été victime de tricheurs avant de devenir lui-même un tricheur, peut-être.
Je n'en arriverais sans doute pas à ce genre d'interrogation si le procureur qui a tant triché contre moi n'était autre que celui qui prend les réquisitions contre Monsieur Nicolas Sarkozy et ses amis.
Cela dit, quand les loups se mangent entre eux, cela fait de la place pour autre chose, alors ayons foi, loin de ces prédateurs, en un autre avenir !
Me W.Paris, un avocat qui vous veut du bien...
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TRES IMPORTANT ET ACTUEL :
En février 2020, Le Parisien révèle une affaire de harcèlement mettant en cause un vice-procureur du Parquet national financer.
Monsieur Jean-François Bohnert est mis au courant de la situation dès le 7 novembre 2019 par une fonctionnaire du parquet, puis il prend connaissance des faits auprès de la principale victime et en avise le Parquet général de la Cour d'appel de Paris.
Cela mène à une enquête disciplinaire, outre saisine du Conseil supérieur de la magistrature par le ministère de la Justice.
Cependant, en août 2020, Mediapart révèle que Monsieur Jean-François Bohnert se serait initialement limité à « remonter les bretelles » du magistrat concerné, sans faire remonter l'affaire qui, pourtant, est susceptible de caractériser une infraction pénale dont les potentialités prejudiciables sont généralement graves, voire tragiques parfois, péril que ce magistrat ne pouvait pas ignorer compte tenu de son niveau et de son parcours.
Et ce ne serait qu'après que Mediapart ait manifesté son intérêt pour cette affaire qu'une alerte a été adressée au Parquet général de Paris, le 9 décembre 2019.
L'inertie de Monsieur Jean-François Bohnert, dans cette affaire pénale de harcèlement moral sous son autorité, rappelle dramatiquement son comportement passif lorsque j'avais moi-même saisi la Justice de Rouen, aux termes de mes écritures du mardi 27 octobre 2015, de la situation de harcèlement criminel dont j'étais victime, par le fait de plusieur notables du barreau de Rouen et de leurs comparses d'autres barreaux.
La loi du silence règne dans la profession d'avocat et il semblerait que cette omerta ne contamine parfois certains magistrats qui sont donc mal venus à se prétendre ensuite garants de l'Etat de droit...
Rien ne va plus, heureusement ces pratiques semblent extrêmement rares a priori !
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PS : Dans la mesure où les accusations portées contre moi le 30 novembre 2015 ont abouti à ma relaxe définitive, il est bien évident que celui qui a fomenté toute cette opération contre moi n'a aucune leçon à donner à qui que ce soit en matière de respect des valeurs humaines, car porter atteinte à un avocat de la défense en le mettant en danger de mort aux moyens de faux témoignages, c'est une pure négation des droits et libertés fondamentaux qui fondent la démocratie, c'est une atteinte directe à l'Etat de droit.
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Stéphane Stef Espic
Marianne Evol
Valérie Vidal
Christophe Chalençon
EDWY PLENEL
Mediapart
AgoraVox
- - SOIT JE SUIS COMPLETEMENT "ZINZIN", SOIT JE DIS VRAI ET NOUS SOMMES EN FACE D'UN ENORME SCANDALE D'ETAT ! - -
Bonjour à tous,
Si je lance des alertes au sujet de l'affaire judiciaire inouïe dont je suis victime, ce n'est pas pour le plaisir de me plaindre ou par égocentrisme, je tenais à insister sur ce préliminaire.
Si je m'obstine à faire savoir que, le 3 décembre 2015, on a délibérément mis en danger de mort physique l'avocat de la défense que j'étais devant le Conseil constitutionnel contre Monsieur Manuel Valls, c'est en raison des enjeux d'intérêt public d'une telle affaire judiciaire.
Car le fait de s'attaquer à un avocat, qui plus est, un avocat de la défense intervenant devant le Conseil constitutionnel, caractérise une atteinte manifeste et gravissime à l'Etat de droit, soit un péril pour la démocratie.
L'importance de ce scandale est inversement proportionnelle à son absolu boycott dans tous les médias.
Que signifie ce silence des journalistes ?
Suis-je complètement dingue ?
N'ai-je jamais été avocat ?
Ne suis-je jamais intervenu contre Manuel Valls devant le Conseil constitutionnel ?
Mes questions sont légitimes car il y a deux façons de mentir au grand public pour le pouvoir en place ; dire des choses fausses ou bien cacher des vérités embarrassantes.
En l'occurrence, il est particulièrement inquiétant que le magistrat ayant agi contre moi en 2015, dans l'intérêt d'un réseau mafieux, ait été nommé chef du Parquet national financier en octobre 2019, après avoir été candidat au poste de chef du Parquet européen contre la corruption.
Si je ne suis pas un pur affabulateur, si l'affaire que je dénonce est vraie, alors se pose la question de savoir pourquoi l'on a voulu nommer à des fonctions stratégiques de lutte contre la corruption un magistrat compromis dans la mise en danger criminelle d'un avocat de la défense.
A cette question, je propose deux réponses :
1°) Soit on projetait de placer à un poste stratégique un magistrat qui n'hésite pas à employer des méthodes de barbouzes ;
2°) Soit on désirait piéger ce magistrat, avec cette affaire de barbouzes, dans l'espoir de le "tenir" une fois nommé à l'un des postes stratégiques auxquels il pouvait prétendre.
Pour trancher entre ces deux hypothèses, il s'avère utile de rappeler que :
- le Parquet national financier traite actuellement de l'affaire Alstom, donc d'intérêts américains de très haut niveau ;
- la femme de réseau qui a menti pour me mettre en danger était l'épouse d'un homme important dans le milieu pharmacologique et militaire, relié aux USA pour y avoir longtemps travaillé avec sa famille.
Il faut ajouter que les méthodes utilisées contre moi correspondent exactement aux pratiques douteuses des officines américaines les plus actives dans le domaine des complots et autres coups montés.
Par exemple, ayant constaté que j'avais survécu à l'envoi de la BRI malgré le descriptif terrifiant de tueur kamikaze que l'on m'avait collé, on tenta encore, vainement fort heureusement, de me faire passer pour fou dangereux, en sollicitant de mes propres parents mon internement chez les "foldingos", à coups d'expertise psychiatrique et de calomnies humiliantes...
Un grand classique des agences de renseignement américaines !
Pour accréditer cette thèse d'une officine américaine, qui peut sembler fantaisiste au départ, il suffit de bien observer le niveau incroyable du boycott médiatique pesant sur mon affaire, malgré des alertes documentées par milliers sur Internet, auprès des médias de France et de l'étranger.
Un tel boycott signifie que le réseau mobilisé contre moi dispose d'une capacité d'infiltration globale des médias, d'un pouvoir de censure durable sur cinq ans déjà, au mépris des trois décisions de justice me donnant raison, le 7 décembre 2015, le 18 avril 2018 et le 25 septembre 2020.
Compte tenu de son étendue et de sa durée, cette omerta médiatique est devenue l'un des principaux indices à considérer pour identifier ce qui se cache derrière le SMS de menace qui me fut adressé le lundi 30 novembre 2015, à 15 heures 18 minutes, me promettant de "solides ennemis" sur le point d'agir contre moi.
Il y a donc une affaire dans l'affaire, une intrigue politico-judiciaire en rapport avec celles dont traite le Parquet national financier.
Mais laquelle ?
Allô ! Allô les médias ! Non mais, allô quoi !
Au minimum, vous devriez prendre la peine d'expliquer au grand public que Maître Wilfried Paris n'est qu'un "zinzin" qui raconte des âneries !
Autrement, quand on voit ce que je publie sans me retrouver à l'asile, votre silence devient un aveu.
Merci aux médias censeurs qui, pour une fois, nous auront montré ce qu'ils sont activement ou par omission, le bras armé du mensonge.
A suivre...
A défaut de pouvoir faire confiance aux journalistes, ayons foi en la Justice française !
Me W.Paris, avocat dissident menacé de mort en France...
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Maximilien ROBESPIERRE :
C'est aux classes fortunées que vous voulez transférer la puissance, vous voulez diviser la nation en deux classes dont l'une ne sera armée que pour contenir l'autre.
Mise en danger criminel, Le bras armé de la Loi, Un petit milieu,
La CORRUPTION, La Messe était dite, Les MAFIAS,
Vie en DANGER , Menacé de MORT
Etat de Droit ???
Maître Wilfried
PARIS
avocat empêché d'exercer
Citation Georges COURTELINE (Philosophe) :
Aux yeux de la loi, un gredin qui la tourne est moins à craindre en son action qu'un homme de biens qui la discute avec sagesse et clairvoyance.
Citation de MONTESQUIEU (Philosophe, Ecrivain, Penseur) :
"Il n'y a point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice".
- 1789 2020 - #OpérationH2O : EXIGEONS DES MAGISTRATS ELUS A LA TÊTE DE CHAQUE JURIDICTION ET DE CHAQUE PARQUET ! - 1789 2020 -
Bonjour à tous,
Mon propos sera bref.
Comme vous le savez peut-être, je me bats aux fins d'obtenir que soient élus, pour six ans, par les justiciables, non point les milliers de magistrats qui protègent nos droits et libertés en France, mais au moins les quelques dizaines de présidents de juridictions et chefs de parquets, soit environ 200 cadres de la Justice.
Cette exigence tend à transformer l'autorité judiciaire, simple service public d'Etat, sous l'emprise de politiciens véreux, en un véritable pouvoir judiciaire capable de tenir tête au pouvoir Exécutif comme au pouvoir Législatif, soit une Justice digne de ce nom, autonome et indépendante.
Je tiens à rappeler à tous mes détracteurs que je n'ai rien inventé, car la loi du 16 thermidor année moins II - 16 août 1790 - prévoyait explicitement que les juges soient élus pour six ans par les justiciables avec possibilité de renouvellement de leur mandat.
Autrement dit, je ne fais que ranimer la flamme de clairvoyance révolutionnaire sur la question des sources du pouvoir judiciaire.
Il va de soi que seuls des juges élus peuvent contrôler nos élus, c'est un enjeu de démocratie devenu pressant au vu des innombrables affaires de corruption qui infectent le personnel politique de la France.
Vive la Révolution en marche, et que les Lumières soient, ayons foi !
Me W.Paris, un avocat qui vous veut du bien...